À PROPOS

Qollab est un laboratoire de recherche situé à l’École de santé publique de l’Université de Montréal et rattaché au Centre de recherche en santé publique (CReSP). Notre but est de travailler en collaboration avec les communautés 2S/LGBTQIA+ afin de décrire et comprendre les enjeux de santé, en mettant l’accent sur l’identification des facteurs sociaux, contextuels et structurels sous-jacents à ces problèmes. Nous nous intéressons particulièrement aux enjeux de santé mentale et de consommation de substance chez les communautés 2S/LGBTQIA+. Notre objectif est de produire des données probantes de haute qualité pour éclairer l’élaboration et l’implémentation de politiques et d’initiatives de promotion de la santé pour les communautés.

Nos travaux s’articulent autour de deux axes

Développer des connaissances sur les facteurs sociaux, contextuels et structurels de risque et de protection de la santé mentale et des problèmes de consommation de drogues chez les personnes 2S/LGBTQIA+ en tenant compte de la diversité de cette population. 

Faire avancer les connaissances sur l’expérience de la santé mentale et de la consommation de drogues chez les personnes 2S/LGBTQIA+ afin d’identifier des interventions qui tiennent comptes de leurs vécues et perspectives.

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Olivier Ferlatte (il), Directeur de Qollab

Olivier Ferlatte est professeur adjoint au département de médecine sociale et préventive à l’École de santé publique de l’Université de Montréal et chercheur régulier au Centre de Recherche en Santé Publique (CreSP). Ses travaux de recherche sont axés sur la relation entre la stigmatisation, la consommation de substance et la santé mentale chez les communautés 2S/LGBTQIA+. Il est un expert reconnu sur les syndémies et sur l’approche intersectionnelle, et les conclusions de ses travaux de recherche ont influencé des politiques ainsi que le développement de programmes visant à améliorer la santé des personnes 2S/LGBTQIA+. Ses travaux scientifiques sont basés sur plusieurs méthodologies (qualitative, quantitative, méthode artistique, approches mixtes) et sont motivés par un intérêt particulier pour l’engagement communautaire et la participation des personnes touchés par les inégalités en santé en tant que partenaire de recherche. Olivier détient une bourse salariale Junior 1 du Fonds de recherche du Québec – Santé. 

Étudiant.e.s

Emmanuelle Gareau (elle)

ÉTUDIANTE
Candidate au doctorat en santé publique, Emmanuelle s'intéresse particulièrement aux aspects biomédicaux, anatomiques et physiologiques de la santé sexuelle et reproductive. Son projet de thèse porte sur la santé sexuelle des femmes vivant avec une « mutilation » génitale, projet s’inscrivant dans une perspective féministe et sex-positive.

Geneviève Fortin (elle)

ÉTUDIANTE
Geneviève est étudiante au doctorat en santé publique, option santé mondiale et travaille comme auxiliaire de recherche en santé publique et chargée de cours en santé mondiale. Ses intérêts portent sur la santé et les droits sexuels et reproductifs des adolescent.e.s en santé mondiale.

Maxim Gaudette (il)

ÉTUDIANT
Maxim est un étudiant queer au doctorat en santé publique (option promotion de la santé). Inspiré par le militantisme et les approches critiques, Maxim se spécialise sur les pratiques sexuelles dites marginales et stigmatisées au sein même des communautés 2S/LGBTQI+. Sa recherche doctorale porte sur le consentement dans des contextes de consommation sexualisée (chemsex).

David Ortiz-Paredes (il)

ÉTUDIANT
David travaille dans des analyses qualitatives pour le projet Cannapix. Il est médecin généraliste colombien et titulaire d'une maîtrise en médecine familiale de l'Université McGill. David s'intéresse à l'utilisation de l'éducation comme outil de promotion de la santé.

Geoffrey Ferber (il)

ÉTUDIANT
Étudiant à la maitrise en santé publique, Geoffrey est Infirmier diplômé de l’université de Strasbourg en France et réalise actuellement une maitrise en santé publique dans le domaine de la recherche. Ses intérêts s'orientent vers les besoins des personnes marginalisées, de même que son activité professionnelle s’est rapidement dirigée vers les services de psychiatrie, où il s’est spécialisé dans la prise en soins des jeunes adultes.

Équipe de recherche

Tara Chanady (elle)

CHERCHEURE POSTDOCTORALE
Tara est chercheure postdoctorale à l'École de santé publique de l'Université de Montréal pour le projet Cannapix. Elle a travaillé sur les enjeux sociaux des femmes lesbiennes, bi et queer et sur les questions de représentations médiatiques de la diversité sexuelle. Elle a obtenu son doctorat en communication de l'Université de Montréal en 2021.

Kinda Wassef (elle)

AUXILIAIRE DE RECHERCHE
Kinda travaille présentement sur le projet Cannapix. Elle est étudiante à la maîtrise en santé publique à l’ESPUM et s'intéresse particulièrement à la santé mentale des jeunes.

Amina Rhanim (iel)

AGENT DE RECHERCHE
Amina est agent de recherche à l’École de Santé Publique pour le programme Jeune Chercheur.e.s Queer et étudiant à la maitrise de sciences politiques à l’UQAM. Iel s’intéresse à la dépolitisation des identités queer dans les représentations médiatiques et l’importance d’une autoreprésentation militante.

Pozzo di Borgo (il)

AUXILIAIRE DE RECHERCHE
Quand il n'est pas en party 2S/LGBTQIA+, Pozzo étudie à la maîtrise en santé publique et est surnommé le «gourou des statistiques» dans le cadre du programme Jeunes chercheur.e.s queer et jeunes chercheur.e.s de Qollab. Ingénieur biomédical dans une autre vie, il s'attache à donner un sens concret par une analyse rigoureuse des données issues des enquêtes de Qollab et à éveiller la curiosité statistique des Jeunes Chercheur.e.s !

Arlette Ibrahim (elle)

AUXILIAIRE DE RECHERCHE
Arlette est étudiante à la maîtrise en santé publique dans l’option santé mondiale. Elle travaille présentement sur le projet Cannapix et s’intéresse à la santé reproductive et la sexualité comme déterminant de santé.

Sarah Cooper (elle)

AUXILIAIRE DE RECHERCHE
Sarah est étudiante au doctorat en santé publique dans l'option santé mondiale. Pour Qollab, elle travaille sur des analyses statistiques, notamment pour comprendre l'impact de l'expression du genre et de la pression masculine sur la santé mentale des hommes de la communauté 2S/LGBTQIA+.